La chasse aux papillons 17/04/14

On recherche chez l’autre une sécurité qu’elle soit affective, financière, physique ou intellectuelle.
J’ai encore espéré te rencontrer sur le quai de la gare.
C’est des petites boutiques, ils n’ont pas beaucoup de choix.
Elle tient de sa grand-mère maternelle, de son arrière-grand-mère doublement paternelle et elle a le caractère de son oncle.
On va dormir avec les petites.
C’est le garçon qui a un nom de chien.
Je ne peux pas m’empêcher de penser tout le temps à toi.
Il y avait en haut du poteau électrique un oiseau qui avait un chant bizarre, un peu comme Touc-touc.
Elle est toute douce et elle me manque.
Elle se pose des questions sur ta sexualité.
C’est juste ce qu’il y a entre toi et moi.
Il y a des bateaux et de la corrida et un tic-tic.
Une fois qu’on se sera lavé les dents et le reste on ne sera pas loin du lit.
Sous mes caresses elle devient folle.
Le billet de train pourra servir de support à l’écriture.
La mer il faut aller la voir.
Il faudra y aller mardi et peut-être le soir.
Et voilà le conseiller qui appelle.

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