La chasse aux papillons 11/03/14

À une lettre près la ceinture porte son nom.
Parce qu’on croit qu’il ne nous arrivera rien de mieux.
C’est un Hercule en plus clair.
J’ai l’impression que l’électro-aimant de la selle déconne complètement.
Il rêve de chasse au renard.
Ils parlent de roses, c’est ce qui va bien.
C’est vraiment très mal réparti.
Tu vas de plus en plus vite, tu prends trop confiance.
Le message n’était pas complaisant mais au moins il était clair.
Des fois on refait les niveaux.
Le rythme est plus lent et te va mieux.
Tout a des couleurs bizarre, alors pourquoi pas une jument verte ?
C’est normal, tu n’entends que la basse.
Dans le coin c’est mieux.
On va se la faire celle-là.
Ça sonne que ce soit d’un côté ou de l’autre de l’océan.
Et pas de Bourgogne, pas de truc qui te remonte, des écouteurs blancs, mais c’est le mal qui prend sa place.
Donna ne te voit pas, Mam z’elle Igarett t’en a rien à foutre, les pirates c’est à peine si tu leur touches les doigts et la reine d’Angleterre n’en a à peu près rien à foutre de ta gueule.
Je croyais que c’était un œuf mollet, mais c’était genre de la féta.
Peut-être que tu ne comprends pas tout ce qu’il dit.
Ça te plaît le côté hamburger.
Il faudrait engager la conversation au niveau personnel.
Je suis sûr qu’il est équilibré.
Putain, je ne suis pas le bourreau.
Il faut qu’il y ait une gare quelque part, sinon on la rajoute.
Nobody cares of me, je ne sais pas si c’est très juste.
À fond le sucre.
Au moins c’est dans le centre et ça ressemble à un bar. Mais maintenant on a un moyen de locomotion.
Tout se passe sous la table.
You know, I got a friend living in my house.

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