La chasse aux papillons 23/07/08 --> 29/07/08

23/07/08
Cleptomane.
Sur le parking du supermarché.
Réseau routier.
Et du teckel sénile je fis mon déjeuner.
L'argent aux africains.
Pouvoir dispenser ses bisous à loisir.
Droit de regard.
Le bœuf n'est pas rentable.
Des fois l'ambiance n'y est pas.
Il faudrait se mettre d'accord sur la forme et la taille des bottes de foin.
Chaleur humaine.
Saint Pierre est le physio du paradis, qui en est le Dee-Jay?
Maisons étagées.
Comme toi que je regarde tout bas.
La belle inonde mes yeux, ça se passe par crises de quelques minutes.
Tu es comme ta mère, tu as les os du cul pointus.
Il n'y a pas que les oeufs qui soient brouillés.
Shoo bee doo dam dam.
Je préfère être franc plutôt que séduisant, mais c'est dur sans toi.

24/07/08
Il faut en avoir des couilles pour se fringuer comme ça.
J'aime bien les coiffeurs qui travaillent tout au rasoir.

25/07/08
J'ai droit à un tirage de gueule spécial et ça dure depuis des mois. Quelle journée de merde!
Il y a des démarches qui sont montées sur ressort.
Il faut que je m'arrache de mon sort.
Du jaune qui est bleu comme la mer des antilles.
L'infernale tragédie.
Tout est vrai et le bien et le mal, le monde est un mélange de noir et de blanc.

26/07/08
Vive les blah-blahteuses, faut causer dans la vie, dire ce qu'on a sur le cœur quitte à créer des clashes, sinon ça s'accumule et quand ça sort ce n'est pas bon, fin de la discussion.
Est-ce par hasard s'il a plut comme ça cette nuit?

27/07/08
J'ai pas lâché les yeux de l'infirmière.
Est-ce du bouddhisme? J'ai dis des méchancetés, depuis je le paye.
Une journée à tuer, une nuit à faire naître.

28/07/08
Regard baissé, tu ne dis rien. Un autre est là qui prend ma place, un autre dicte et moi j'écris. New York juillet.
L'oisiveté est mère de tous les vices, en attendant ma levée d'écrou je reste cloué là.
Hey you sexy bottom.
Juste un petit truc pour faire partir la douleur, juste un petit truc pour faire revenir les couleurs.

29/07/08
Suffisamment d'abandon, il faut mettre des mots.
Nous avons eu un léger repli dans la bataille contre le démineur.
Juste un peu de précipitation sous la pluie, un trottoir, un bus qui part.
Il existe un monde dont j'ai entendu parler une fois dans une comptine.
Ça fait pas bézef.

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