La chasse aux papillons 28/01/09

Un petit quelque chose.
Ça y est, le repas est servit.
Et en bateau à voaales.
Ne me laisses pas comme ça, mon ventre te réclame.
Avec une qui te regarde comme ça.
Cent dix kilos, ça y est les papillons sont plus lourds que le Napalm, sûrement que les sens ne sont plus gélifiés.
Je me demande bien quelle saloperie a pu m'arriver pour que je sois comme ça.
On voudrait que cette réconciliation s'applique à tous les peuples.
Il faut limiter le taux de pénétration.
Aussi longtemps que tu seras là.
I miss you, I miss you so bad.
Je fais quoi avec le paquet de frustrations que tu m'as laissé.
Et ça gène quoi si il n'y a pas de plaisir.
Et moi je crève de ne pouvoir te toucher, on m'a mis au sec.
En quatre vingt sept ce n'était pas facile de trouver un tatoueur.
La vie se serre dans mes viscères, le rien affecte les reins, les ratés touchent la rate, les bides tordent le bide, heureusement que mon cul chie encore.
Touch me, touch me, I wanna feel your body, your heart beat next to mine.
Elle descendait de la montagne sur chariot chargé de paille, sur un chariot chargé de foin.
Si t'as rien de mieux à faire, viens me voir.
Le poids du vide, les hurlements du silence.
On a de la bière au frais.
La vie dans la vallée.

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