La chasse aux papillons 27/10/08

Et si tu possèdes la plus grande richesse sans savoir comment la dépenser. Du temps à ne plus savoir qu'en faire.
Ailleurs ça ne change rien.
Trouver une occupation, aucune passion.
S'asseoir pour regarder la vie défiler.
Tout se paye, quelle est la monnaie ?
Trouver un bar à huîtres.
Du citron dans la blanche.
Deux personnes quand elles parlent, discutent souvent d'une tierce qui n'est pas là.
J'étais là à deux mètres, tu étais là de l'autre coté de la table.
Monter des films.
Il m'avait appris à plier les feuilles de papier pour qu'elles soient plus pratiques.
À force d'écrire dans les bars je vais finir arsouille.
Qui se souviendra ?
Et si je me rappelle, je me morfonds, et si j'oublie, je n'ai plus rien.
L'attirer pour la tirer.
Pourquoi t'as pas causé ou juste mon malheur ?
À force de passer, ça va finir par se voir.
Je ne sais plus que noircir du papier ou mes idées.
Peut-être au Brésil.
Antony Santos : Yo te la compro la parcela mi amor.
Ici on cherche la chaleur, l'humidité des corps.
Regarde si on te regarde.
Certains sourires peuvent tout obtenir.
Le changement d'éclairage.
Chassez le naturiste, il revient en maillot.
Ouh ! Ouh !
Jo ressemble à Cassius.
Bein tant pis.
L'important je ne l'aurai pas, alors on va se battre pour le reste.
Juste faire du vent avec la bouche.
J'ai tendance à penser que la seule manière d'avancer, c'est d'aller à l'encontre de ce qu'on est, des gens qui pensent comme nous. Et ta sœur saura.
Le test de la portière.

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