La chasse aux papillons 06/09/08

Je t'ai vu la regarder, dans les yeux ça se voulait discret.
Tous mes organes internes se mettent à bouger.
C'est bizarre elles chopent de drôles de voix assez nasillardes et insupportables.
Il faut se laisser envahir.
Comme le calme après la tempête, une sorte de sérénité malvenue, c'est le son du désert.
La Mano Negra : "Pas assez de toi"
Don't be fooled by the rocks that I got
I'm still, I'm still Jenny from the block
Used to have a little, now I have a lot
No matter where I go, I know where I came from.
Vous.
Je trouve ça immonde qu'il parle des gens présents à la troisième personne tout en se tournant vers l'autre.
Des mots pour l'otarie, ça passe si vite et qu'une fois. Des actes pour l'affamé, le vent chaud du désert ici et maintenant, la flamme est orange, la femme est étrange, c'est ici que tout change.
Ce n'est ni en jardinier, ni en architecte, mais en peintre et poète qu'on doit composer les paysages.
Le charme mystérieux de tels effets.
Étoffer le lien.
Reconnaître les siens.
Wasichu, Ta tanka.
Rebouclage singulier sur la première phrase.
Elle est jolie l'autre à la bière là.
Elle est où la vache?
SOS détresse amitié bonjour.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire