Je ne peux pas compter éternellement sur le temps, il en a plus que moi.
Si tu ne provoques pas, il ne se passe rien.
Il fait déjà bien jour.
C’est tout de même atroce si je ne te vois plus jamais.
Cette brune avec les beaux seins.
Il faudra que j’aille me chercher des petits pois au wasabi.
Le petit moineau se gonfle pour lutter contre le froid.
Mon petit chat, on est tout près, il n’y a plus qu’à plonger, à trouver la porte au pied du mur.
C’est comme ça quand c’est nos peurs qui dirigent nos vies.
J’oublie les visages, mais il reste un truc, jamais je n’oublie la profondeur du regard.
Je me raccourci la vie à cause de ce manque de toi qui me ronge l’intérieur, alors voilà pourquoi le rat.
Les engins de la voirie ont des bruits de vaisseaux futuristes.
C’est free qui m’envoie un message, j’aurais préféré que ce soit l’autre épicière.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire