La chasse aux papillons 19/02/16

Vu qu’il y a tout plein de monde sauf toi, je ne vais pas rester.
Tu sais bien que tu ne dois pas rester comme ça. On est tout le temps tout seul, alors autant que ce soit avec les autres.
Tu en auras juste assez pour les deux jours, pourtant tu avais rempli les deux poches.
Tu allais te bouger le cul et puis tu as abandonné, c’est tellement plus facile.
À quand les montagnes russes ? À quand les ailes de papillons ? À quand les yeux de braises ?
Ça n’a pas changé et il y a de moins en moins de chance que ça change.
Tu avais ouvert la porte mais tu l’as refermée avant que je n’aie pu la franchir.
On va se faire le libanais comme ça on n’aura plus de questions à se poser.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire