La chasse aux papillons 28/10/09

Toujours un chrono dans la tête.
Si je prends le train, c'est pour ne pas pour aller taper dans le genou du voisin.
La voisine a une robe de chambre mauve et les cheveux blancs.
Ça a un arrière goût de fer, c'est peut-être ça l'antioxydant.
Si l'hiver s'installe, il faudra que j'aille me faire piquer.
Tout ce qui vient pour ne pas penser à mal.
J'ai le genou qui tape dans le pilier, si je pousse un peu les pieds je tape dans ceux de mon voisin, ils nous ont coupé les fenêtres en deux, on est installé juste sur les roues avec toutes les vibrations, comme on est juste devant si on a un accident on sera les plus écrasés en servant d'amortisseur pour les autres. Alors, excusez-moi, mais je n'appelle pas ça zen.
Se faire des bisous en se balançant.
Je dis des vérités pour l'éternité.
Le monde se reflète dans le capot d'un ordinateur.
Empêchez les Angoulêmois de monter.
Le bonheur ne vient jamais tard, si il vient.
Pourquoi n'aiment-ils pas les grosses veines bleues ?
Des fois, tu ne dis pas le S.
Les couleurs de l'automne sont faites pour le soleil rasant.
Les éoliennes ne vont-elles pas freiner la rotation de la terre ?
La nuit tombe vite, malheur à celui qui se la prend sur le coin du nez.
Au Sud c'était le Coran.
Let me stand into your fire.
Il faudra manger, personne ne t'attend.
Que faut-il faire s'ils se reflètent à l'infini ?
En attendant, tu n'as qu'à boire du blanc, et à moins le quart, on s'attaque au Ricard.
Encore un peu et l'on passe de l'autre côté.
It's my own business.
Comment ouvrir, si il manque le F ?
Dommage qu'il faille près de trois semaines pour atteindre huit heures et demie.
Il faudra passer aux roulettes pour ne pas se massacrer l'épaule mon agneau.
Echele, echele a la noche.
Je suis un homme sincère qui cherche la clarté.
Tout comme au début, je le suis.

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