La chasse aux papillons 05/02/18

Je sais que ça fait plus de huit minutes, ça fait long dans une vie, mais en plus il faut le voir cinquante fois d’affilée pour que ça fasse effet, que tu tombes éperdument amoureux de la vieille, complètement hypnotique, en plus c’est une histoire de miroirs qui se répondent à l’infini, de mains, de bague et quand il danse, et pas uniquement, Michael est dans les parages. Le son c’est au casque, d’une richesse et d’une mise en espace. Il y a aussi un livre qui sauve la vie, le souvenir de produit pour soigner les traumas et te rendre complètement love genre Bisounours. Certes, on peut aussi dire que c’est de la soupe pop bien produite.
Les poissons tu crois qu’ils sont sympas, mais ils te bouffent un truc qui va te servir et là ça te fout les nerfs.
Si tu n’écris pas assez vite tu ne t’en rappelles plus.
Cette neige, ça va faire de la bouillasse.
Il faudrait que tu fasses quelque chose de structuré.
Il y a un endroit où ça fait un creux que ça ne faisait pas avant et ça t’inquiète un peu.
C’est bien un ciel à neige.

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