La chasse aux papillons 04/07/10

Je préfère encore Sheila à Phyllis.
Elle fait toutes les nuits sauf les miennes, et les journées qu’est-ce qu’elles deviennent. C’est sûr, il ne faut pas que j’y revienne, mais ça tourne comme les valses de Vienne.
Comme Janis dans le métro.
C’est forcément un être humain qui parle en fonction de son vécu.

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