La chasse aux papillons 11/02/10

On ne travaille pas pour nous, mais pour ceux qui viennent après nous, bien après.
Tu as beau croire que c'est finit, tout revient et pourtant ça n'existe pas.
Tu vois, ils rigolent.
Il faut détendre tout ça.
Au début je ne notais que les pensées récurrentes, puis après je me suis mis à récurer mes arcanes (à vérifier). Après j'ai décrit ma vie et quand elle est partie j'ai voulu incendier les restes, mais ils étaient trop tenace. Aujourd'hui je ramasse les cendres qui volètent telles des papillons et regarde les premières repousses. Mon cul ! Y'a rien.

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