La chasse aux papillons 29/01/10

J'aurais bien aimé faire partie de la description de ton bonheur.
Un petit peu d'activité et dégagé sur les cotés remet de l'entrain.
Les chemins à long terme modifient physiquement le cerveau, je le sais ça fait des flashes.
Une légère euphorie, ça prend juste au-dessus de l'arête du nez.
Mais quand le diable me tire par la queue, ça me chatouille, ça me gratouille, ça me donne des idées.
Et qu'il me pardonne ou non, d'ailleurs je m'en fous.
Je vous narre mes moraines, oui je me promène en compagnie d'un gros glaçon et sa fonte fait monter le niveau de l'amer, elle libère des particules piégées là avant les grands froids. Je cherche Madame Titanic pour briser la glace et qui me dira "Tu n'es pas que beau mon Leonardo". Tu cherches la femme, tu la nique pour baiser la garce qui dit "Capri, Oh c'est finit". Tout se finit dans l'eau, au bord d'un lac ou dans les pleurs. Ophélie, l'hiver est plus rude, son froid ses morsures et puis j'ai déjà mon âme en peine.

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